Jo se confie ensuite à Agathe, pleurant parce que personne ne veut d'elle, alors que Sophie, dans l'appartement voisin, pousse de forts cris de plaisir en plein ébat avec son mari. De retour chez eux, Ysis trouve le prétexte de descendre les poubelles pour rattraper Marie au bas de l'immeuble. Durant le tournage, il est appelé Very Bad Girls mais il est déjà annoncé que ce titre n'est pas définitif[20]. Agathe finit par entamer une relation avec son bel avocat, malgré une maladresse persistante. Il a pris les paroles de la chanson d’Alain Souchon au mot. Sous les jupes des filles est un film français réalisé par Audrey Dana, sorti en 2014. Sandrine Marques, pour Le Monde, qualifie le film de « catalogue consternant de femmes d'aujourd'hui » et de « comédie indigente »[57]. Außerdem überzeugen ihre Protagonistinnen mit komischem Potenzial, auch wenn es nicht immer ganz ausgeschöpft wird. Elle est la meilleure amie de Jo, célibataire qui a tendance à être nymphomane durant la moitié de son cycle menstruel et glacée pendant l'autre moitié. D'autres déclarations d'actrices n'ont pas été commentées par Kopiejwski. Durendal. Hubert Heyrend est bien plus sévère pour La Libre Belgique, estimant qu'Audrey Dana « n'aime visiblement pas les femmes » et qu'« elle en dresse en tout cas un portrait radicalement sexiste »[60]. De son côté, Ysis et son mari Pierre se réveillent avec les mêmes envies de faire l'amour, mais la routine les en empêche et Ysis emmène leurs quatre garçons à l'école. Elle remarque d'ailleurs que l'utilisation promotionnelle de la scène du flash mob lors de la Journée des femmes devrait « inscrire ce film dans un certain cadre, celui de la revendication égalitaire et donc, du féminisme »[103]. Alain Souchon clip officielSuivez toute l'actu sur http://www.alainsouchon.netNouvel album "Ecoutez d'où ma peine vient" sortie le 1er décembre 2008 Sophie, voisine de Jo, est une autre employée de Lili. Vanessa Paradis est approchée sur le tard puisqu'Audrey Dana ne la rencontre que quelques mois avant le tournage[14]. Pierre s'éclipse rapidement lorsqu'il reçoit un appel d'Adeline, leur ancienne voisine. La mère prétexte alors une urgence pour le consulter. Ysis ne paraît pas s'en rendre compte et lui demande de ses nouvelles car elle vit un drame personnel : sa mère est accusée d'avoir tué son père après avoir longtemps été battue par lui. Sous les jupes des filles (Alain Souchon) - Par DeL ;) Deliamber. Le 6 août, des scènes ont été filmées au parc Monceau[31]. Pour une meilleure compréhension de l'histoire et des relations entre les personnages, le synopsis suivant ne respecte pas systématiquement le montage du film et l'ordre dans lequel le spectateur a connaissance de certains éléments. Les recettes du film sont estimées à plus de[n 7] 12 250 000 dollars dans le monde[83], dont environ 11 100 000 en France[25],[83], 470 000 en Italie[83], 400 000 en Belgique[83] 217 000 en Suisse[83] et 96 000 en Russie[84]. Elle rencontre des femmes célèbres comme Chantal Thomass[15] ou Delphine de Vigan[7], mais aussi des inconnues, dont des lesbiennes, des transsexuelles, ou encore des femmes victimes de violences conjugales[15]. Notant que « le scénario trimballe sa part de vécu », elle affirme que le film tient autant de la « pure comédie trash » que du « vrai faux docu-fiction »[54]. Au moment de la sortie, Audrey Dana précise que tout « dépend quel sens et quel poids on donne au mot féminisme », estimant que le terme de féminisme peut sous-entendre « de la colère et un rejet des hommes » et que, de ce point de vue, le mot ne s'applique pas à son film[104]. Audrey Fleurot est contactée lorsque le projet est encore plus avancé puisque son nom est le dernier révélé publiquement[18], alors qu'une liste annoncée en mai 2013 mentionnait Mélanie Doutey aux côtés des dix autres actrices[5]. Audrey Dana avait écouté le premier album d'Imany, The Shape Of A Broken Heart, durant l'écriture de son scénario[35]. Il finit par reprendre le titre d'une chanson d'Alain Souchon : Sous les jupes des filles[22]. I tabbed the song including the guitar lines that were missing such as the intro/solo/outro, corrected some chords, specified them and adjusted some lyrics that weren't good. Les répliques ou la gestuelle ont parfois été rediscutées de façon collective[22]. ... Toutes les actrices au photocall de "Sous les jupes des Filles" a Paris. La critique a souvent été négative lors de sa sortie, les reproches s'articulant souvent autour d'une vision stéréotypée des femmes, de la vulgarité des situations ou encore du trop grand nombre de personnages, alors que les compliments s'orientent surtout sur la performance de certaines actrices ou sur l'audace d'Audrey Dana. Elle compare le film avec la série télévisée Girls, « qui affiche les mêmes ambitions », considérant qu'Audrey Dana « n'a pas l'acuité d'une Lena Dunham, la créatrice de la série, ni son inquiétude »[57]. Si elle salue certaines actrices, elle juge que « la plupart des personnages sont toutefois beaucoup trop clownesques »[62]. Lors de sa quatrième semaine, le film passe en cinquième position du box-office hebdomadaire[78] mais il réalise plus d'entrées que la semaine précédente[25], dans un contexte de Fête du cinéma qui lui permet de dépasser le million d'entrées cumulées[79]. Il clame en outre qu'il n'y a « pas de transgression dans ces romances avec des pets et ces accès de nymphomanie avec tics »[c 11],[67]. Elle complimente toutefois certaines actrices : Isabelle Adjani, « dont l'autodérision est à saluer », Laetitia Casta, « charmante », Marina Hands, « à contre-emploi », et Julie Ferrier, « hilarante »[2]. Au travail, elle reproche à Sophie d'avoir su depuis longtemps que Jacques la trompait et se venge en criant devant tout le monde que sa collègue est frigide. The film tells the stories of eleven women in Paris and features an ensemble cast including Isabelle Adjani, Alice Belaïdi, Laetitia Casta, Audrey Dana, Julie Ferrier, Audrey Fleurot, Marina Hands, Géraldine Nakache, Vanessa Paradis, Alice Taglioni and Sylvie Testud. Ce film choral raconte les tribulations de onze femmes à Paris, le temps du cycle hormonal de l'une d'elles. Sylvie Testud déclare pour sa part qu'il existe « plusieurs façons d’investir la féminité » et que « la dictature de "comment c’est la féminité" » est en train de disparaître[99]. Plus tard, Ysis et Pierre boivent au comptoir d'un bar. Lorsqu'elle apprend que son jeune amant ne dormira pas avec elle la nuit suivante, elle tente d'appeler un autre amant pour lui tenir compagnie. La journaliste salue « une cascade de stars, de finesse et d’humour » ainsi que la prise de risque de la réalisatrice qui « os[e] cette approche déjantée, percutante, sans filet, mais si juste, pour raconter les femmes »[22]. En Russie, sur le site Film.ru, Ievgueni Oukhov attribue une note de 6/10, considérant que le film échoue à combiner les histoires de tous les personnages et que la réflexion sur les femmes est plutôt superficielle, mais saluant l'impressionnant casting et soulignant que les défauts n'empêchent pas de prendre du plaisir[71]. N'ayant ni amies ni mari ni enfants, elle tente de changer le cours des choses le jour où elle apprend avoir un taux de testostérone anormalement élevé pour une femme. Elle y croise notamment trois collaboratrices de son mari : Inès, qui va bientôt se faire opérer pour corriger sa myopie, Sophie, qui essaie implicitement de faire comprendre à la précédente que son mari (Jacques) la trompe, et Lili, la styliste extravertie, patronne de l'entreprise. Ainsi, Guillaume Gouix est proposé par Nakache, Pascal Elbé par Casta et Stanley Weber par Ferrier[16]. Il trouve que les actrices sont « embarrassées » et considère que le film ne fait pas le poids face au Gazelles de Mona Achache[58]. Sur le site Le cinéma est politique, Julie Gasnier critique notamment l'influence des hormones sur le caractère et le comportement des personnages féminins, qui constituent une vision « misogyne et totalement invalidée par les études scientifiques » qui est d'ailleurs un « argument phare du discours essentialiste qui prétend que si les hommes et les femmes sont fondamentalement différents (et donc n’ont pas les mêmes compétences, et par extension ne méritent pas les mêmes droits…) »[100]. Vanessa Paradis ayant affirmé que Sous les jupes des filles était « un très beau film de femmes sur les femmes, absolument pas féministe »[105], Kopiejwski se demande « ce que ce mot maudit recouvre pour elle »[103]. You can help Wikipedia by expanding it. Lyrics to Sous les jupes des filles by Alain Souchon from the Alain Souchon est chanteur album - including song video, artist biography, translations and more! En fêtant ce procès gagné, Agathe ose enfin dire « Je t'aime » à son nouveau compagnon. Il conclut que ce « ratage » est d'autant plus décevant qu'« un peu plus d’humilité et de délicatesse » aurait permis aux scénaristes de proposer « une chronique sociale aux valeurs tangibles »[63]. Dans son appartement, Jo est agacée par les disputes entre Jacques et ses enfants, mais aussi par les gestes entreprenants de son amant au moment où ses hormones ont plutôt tendance à la rendre froide sexuellement parlant. Malgré tout, elle remarque qu'il y a peut-être trop de personnages car « on n'échappe pas au zapping de l'une à l'autre »[54]. C'est alors Olivier Delbosc qui suggère Julie Ferrier pour ce personnage[16]. Selon elle, la réalisatrice a tenté de positionner son film à mi-chemin entre Mes meilleures amies (« les gags couillus ») et Le Bal des actrices (« un casting d’enfer »), mais qu'il générera des avis tranchés dans le public : « plantage ou poilade »[56]. Parmi les héroïnes, il applaudit le duo Paradis-Belaïdi et « quelques personnages bien croqués (Audrey Dana ou Marina Hands) », mais il en relève aussi quelques-uns « sacrifiés à l'écriture »[53]. Die Bilder ihrer aufgekratzten Komödie wirken frisch und zelebrieren streckenweise Weiblichkeit in prallen Farben. Audrey Dana joint Alice Belaïdi après l'avoir vue dans Radiostars[14]. L'Observatoire européen de l'audiovisuel répertorie un total supérieur à 1,62 million d'entrées sur quinze pays européens où le film a été exploité[73], dont plus de 230 000 à l'étranger[n 6]. De son côté, Nathalie Chifflet, dans Le Progrès, estime en revanche que le « public masculin [...] risque de se sentir bien seul, et un peu perdu » et se demande si Sous les jupes des filles n'est pas fait avant tout « pour les filles féministes »[54]. Dans Les Inrockuptibles, Romain Blondeau qualifie le film de « comédie atroce », fustigeant « un déferlement de vulgarité », qui « frôl[e] une outrance grossière évoquant le pire du cinéma de mecs façon Very Bad Trip », et « un final conservateur »[58]. Pour préparer ce film, Audrey Dana, qui réalise alors son premier long métra… L'anglais est utilisé dans les dialogues entre Fanny et James Gordon ; le japonais est parlé par Rose lorsqu'elle reçoit l'appel d'un client. Très émotive, elle s'enfuit précipitamment lorsque son attirance pour l'avocat lui provoque de bruyants troubles intestinaux. Sur Internet, Sous les jupes des filles obtient un accueil public plutôt moyen dans l'ensemble, voire négatif, puisque les moyennes sont situées entre 4 et 6 sur 10 (ou équivalents) sur les sites ayant recueilli plus de 500 votes. History: In Kurdistan, Bahar, commander of the Battalion The Girls of the Sun, is preparing to free his city from the hands of extremists, with the hope of finding his son. En Espagne, Fausto Fernández, pour Fotogramas, trouve le film « fou et bourdonnant, irrévérencieux, comme l'univers féminin de Miike »[c 6] car il le juge « toujours sur la limite, toujours transgressif »[c 7],[66]. Fanny entame ensuite une relation avec James Gordon, un acteur américain qui vient de s'installer à Paris, en ignorant totalement sa notoriété et sa supposée homosexualité. De son côté, une jeune avocate, Agathe, est reçue par un confrère pour lui demander des conseils sur un dossier dont elle a la charge : la défense de la mère d'Adeline. Rose est une femme d'affaires influente qui a tout sacrifié pour sa vie professionnelle. Elle regrette la vision du féminisme que la réalisatrice véhicule, tout en soulignant que celle-ci admet malgré tout le caractère féministe de son film[103]. Lorsqu'elle revient le lendemain matin, Pierre lui reproche de l'avoir laissé seul avec les enfants. L'actrice leur répond qu'il faudrait d'une part demander aux actrices ce qu'elles aimeraient vraiment qu'on leur propose, et d'autre part interviewer de nombreuses femmes pour essayer notamment de savoir ce qu'est une femme au XXIe siècle et de connaître leurs attentes en termes de cinéma[13]. Charles-Henri Ramond, dans la revue Séquences, précise d'abord qu'il est difficile de « reprocher à Audrey Dana d’avoir joué d’audace pour tenter de dresser un portrait des multiples facettes de la femme française moderne et de ses relations avec les hommes » mais estime que le film est un « hallucinant enchevêtrement de sordide, d’humour sous la ceinture et de parties de fesse mal filmées » et « s’avère d’une rare vulgarité et d’une invraisemblable timidité »[63]. Adeline et Rose finissent quant à elles par développer une certaine complicité. Conductrice de la ligne de bus 81 de la RATP, elle est avec le même homme depuis l'âge de 15 ans et semble n'avoir ni complicité ni vie sexuelle avec lui. Au box-office français de l'année 2014, Sous les jupes des filles termine en 41e position parmi les 57 films ayant cumulé plus d'un million d'entrées[82]. Pour TéléCinéObs, Nicolas Schaller parle de « navet sans nom » qui serait « un Cœur des hommes pour ménagères de moins de 50 ans, mis en scène comme une pub Narta, qui aligne plus de clichés et de mauvais goût qu’un test socio-cul dans Cosmopolitan »[4]. Audrey Dana parle assez rapidement de son projet à Géraldine Nakache. L'album a été 84e des ventes hebdomadaires en France lors sa sortie et est resté dans le top 200 durant quatre semaines[38]. Ce film choral raconte les tribulations de onze femmes à Paris, le temps du cycle hormonal de l'une d'elles. Il passe ensuite deux autres semaines dans le top 10, au septième rang[80] puis au neuvième[81], et le film reste à la onzième place puis à la dix-septième, passant donc huit semaines d'affilée dans le top 20 hebdomadaire[25]. Il remarque que les « rares moments justes n’allègent pas le fardeau » d'un premier film qui n'est « rien d’autre qu’une comédie de boulevard ridicule et racoleuse »[63]. Elle a parmi ses collaborateurs Pierre, le mari d'Ysis, jeune mère de quatre enfants embourbée dans sa routine familiale au point d'oublier de s'occuper d'elle. Les traductions des citations sont des traductions libres, parfois réalisées avec l'aide de dictionnaires ou de services de traduction, dont le Wiktionnaire et Google Traduction. You can help Wikipedia by expanding it. James Gordon vient chercher Fanny, rendant les autres femmes envieuses. Ysis tombe un jour sous le charme de Marie, sa baby-sitter lesbienne, qui lui fait découvrir les plaisirs entre femmes[4]. Sa propre sœur aînée, Marie-Noëlle, a participé au tournage en réalisant le making-of[34]. Sylvie Testud ne rejette pas explicitement le qualificatif de féministe mais considère seulement que le film n'a « pas besoin de rentrer dans la revendication »[104]. Il réalise plus de 80 000 entrées lors de son premier jour, dont près de 17 000 sur Paris et sa périphérie, réalisant le meilleur score national de cette journée[74]. Jo est par ailleurs la maîtresse de Jacques, le mari d'Inès, myope comme une taupe et incapable de s'apercevoir qu'elle se fait tromper[2]. Ysis part rejoindre Marie, avec qui elle entame une relation. Le film est produit par Fidélité Films[5], dont les producteurs Olivier Delbosc et Marc Missonnier sont alors considérés alors par Télérama parmi le « Top 50 » de ceux qui « ont le pouvoir et le talent de lever de l'argent, faire naître des films, les rendre populaires »[23]. Dans Le Monde, Sandrine Marques regrette que le film soit plus béhavioriste que féministe[57]. Plus tard, Jo retrouve Jacques devant son appartement. Le film prend ensuite pour titre French Women[21],[18], celui-ci étant ultérieurement conservé comme titre anglais pour l'exportation[5]. Elle accepte avec joie sa proposition de l'épouser et de venir vivre chez elle. Pour la promotion du film, la scène du flash mob au Trocadéro a été diffusée sur Internet[n 3] le 8 mars 2014 lors de la Journée internationale des femmes[42]. Deux nouveaux personnages font alors son apparition dans l'histoire. Le positionnement du film, de la réalisatrice et de ses actrices envers le féminisme a suscité un certain nombre de critiques, commentaires et interrogations[100],[103], tout comme la question du public visé, Audrey Dana évoquant avant tout sa volonté de faire, selon les variantes, « un film de femmes pour les femmes »[103] ou « un film par des femmes pour les femmes, et les hommes qui aiment les femmes »[21]. Éric Libiot remarque que ça « parle sexe et hormones, fidélité et plans cul, corps, pulsions et contraintes en un point de vue exclusivement féminin »[55]. Le projet est né du constat que les comédies proposent peu de rôles aux femmes, hormis des personnages de faire-valoir, et de la volonté de proposer un film mettant en avant les femmes et donnant une autre image de la féminité, variée et sans tabou. Certaines sources affirment, de façon ambiguë ou erronée, que le, Outre la réalisatrice, sept autres actrices étaient présentes (, Les traductions des titres sont des traductions libres, parfois réalisées avec l'aide de dictionnaires ou de services de traduction dont le, L'homme nu en question est interprété par. Exclu Vidéo : Géraldine Nakache à propos de "Sous les jupes des filles" : "On pourrait penser qu'il y a eu du crêpage de chignons entre les fill... Public 2:30
Mouctar Diakhaby Salaire, Expliquer Le Lavement Des Pieds, Facteur Cheval Film Gratuit, Buste Napoléon Bronze, En Attente D'attribution D'un Lot Arpej, Decathlon Chaussures Basket Junior, Tout Peut Arriver Livre,